lundi 22 octobre 2018

Notre séjour sur l'île Sainte-Marguerite du 1er au 3 octobre 2018

1er jour : départ vers l'île Sainte-Marguerite …

Les îles de Lérins

Le lundi 1er octobre, nous sommes partis en bateau du débarcadère de Cannes pour l'île Sainte-Marguerite ; c'est la plus grande.


Voguons vers l'aventure !

Une fois arrivés, nous avons déchargé nos bagages puis, après 15 min de marche, nous sommes arrivés au FORT ROYAL.

Notre arrivée sur l'île.


Nous avons pris nos draps à la lingerie puis nous sommes allés dans nos chambres pour nous installer.


Nous avons déjeuné sous les micocouliers. Des goélands voulaient prendre nos frites.


Les micocouliers

L'après-midi, nous avons participé à un atelier sur les laisses de mer. Nous avons trouvé sur les banquettes de posidonie des feuilles et des pelotes. Nous avons appris que la posidonie est une plante qui pousse dans la mer. Ce n'est pas une algue car elle n'a pas de racine. Ses fruits s'appellent les olives de mer.
Des poissons, des oursins, les concombres de mer et des escargots de mer mangent les feuilles ; ils peuvent aussi se cacher dans les herbiers de posidonie.

Sur les banquettes de posidonie

Le vent se lève !

2ème jour : entre forêt et mer …

Le mardi matin, nous avons découvert la forêt de l'île avec Vincent, notre guide de l'O.N.F.
 
Il nous a montré des arbres (l'eucalyptus, le pin d'Alep et le pin pignon, le chêne vert) et des plantes (le pistachier lentisque, la myrte, des feuilles de salsepareille).

Le Pin pignon

L'allée des eucalyptus
A la découverte des plantes
Les racines de salsepareille peuvent aider à soigner les maladies de peau. Cette plante est une liane. Les feuilles ont la forme d'un cœur.
Des feuilles de salsepareille
  
Puis, Vincent nous a emmené à la pointe du Dragon. 
Notre guide nous a expliqué que c'est Saint-Honorat qui avait tué cette bête fantastique qui vivait sur l'île il y a très longtemps.

Le four à boulets sur la pointe du Dragon


Enfin, nous sommes allés à l'étang du Batéguier. Nous avons vu un héron cendré.


L'après-midi, nous nous sommes baignés dans la mer. Il y avait des vagues et nous nous sommes bien amusés. Nous avons aussi goûté sur la plage et trouvé des coquillages.
Ensuite, nous avons fait une grande promenade pour rentrer au fort ; presque tout le tour de l'île !

Vue sur l'île Saint-Honorat



On the second day we decided to go to the beach after our morning botanical workshop. So in the afternoon, after having lunch in the fort, we walked around the island looking for a beach where we could have our snack. On our way there we were able to enjoy some beautiful views of the sea as well as look at many pretty plants and trees such as pine and eucalyptus. When we finally arrived at the beach we had chosen, we laid our towels on the pebbles and sat down to have our snack. Afterwards some of us put on our bathing suits and played in the waves. Other children stayed on the beach and simply enjoyed the view. 

The sea displayed many different shades of blue; it was beautiful !




Le soir, nous avons fait une veillée : nous avons joué aux jeux de société et au jeu des palets en bois.
Nous nous sommes bien amusés. En sortant de la salle de jeux, nous avons vu un feu d'artifice et deux chauve-souris. Enfin, nous nous sommes couchés pour une nuit pleine de rêves joyeux !


3ème jour : matinée culturelle …

Le mercredi matin, après avoir fait un rallye-photos dans le fort, nous avons été au Musée de la Mer qui est un musée archéologique, d'arts et d'histoire.



On the third day we visited the Maritime Museum.

Le Musée de la Mer

Nous avons d'abord visité la prison de l'Homme au Masque de fer. Pour l' époque (1687) c' était plutôt confortable.

The first part of our visit was spent looking at the cells where all the prisoners were kept. 
We even went inside the cell where the Man in the Iron Mask was held prisoner for 11 years. 


Ensuite, nous avons visité la partie archéologique du musée.
Nous avons pu voir les vestiges des citernes romaines. C'était les moyens de conservation d'eau de pluie à l'Antiquité. Les romains avaient trouvé un système pour récupérer l'eau de pluie : celle-ci tombait sur les toits, puis elle allait dans les citernes grâce à un aqueduc ; ensuite un tuyau amenait l'eau à la fontaine et les gens pouvait boire l'eau.

Système des citernes romaines
Des amphores

Then we went to a different part of the museum where there was a permanent exhibition of underwater archeology as well as a temporary exhibition of underwater art by Jason DeCaires Taylor. We saw a display of photographs of surprising underwater sculptures as well as a short documentary showing how the sculptures were made, placed underwater and photographed by the artist.


 

Après cette visite, nous avons déjeuné, puis ce fut déjà l'heure de partir. 
Nous avons pris le bateau pour rentrer à Cannes et retrouver nos familles. 
Ce fut une super classe découverte ! 


Aurevoir l'île Sainte-Marguerite

Retour au port de Cannes



lundi 11 juin 2018



 Il a fallu une trentaine de jours pour que la première Messor barbarus (en haut sur la photo) aille dans la quadricity, alors que les Lasius endermique (les plus petites fourmis sur la photo) ont occupé leur espace dans la quadricity, très rapidement.  


Difference de taille apparente entre 
la Messor Barbarus et les Lasius endermique


La colonie des Messor Barbarus était très petite à son arrivée, avec une vingtaine de fourmis. Il a fallu les garder dans un espace confiné, puis la reine a pondu des œufs qui sont devenus des larves, puis des nymphes et enfin des ouvrières en 30 jours environ. Elles sont maintenant à la recherche d'un espace plus grand.
L’évolution de la colonie dépendra en fait, de la taille de leur nid. Si on les laisse dans un petit nid, elles s’adapteront et la reine pondra en conséquence. Plus le nid est gros, plus la colonie sera populeuse, année après année.


La reine des Lasius endermique, au centre, a pondu des œufs qui sont devenus des larves, puis des nymphes. Sur cette photo, l'on peut voir les larves et les nymphes.

samedi 19 mai 2018

Les fourmis ... 1 an plus tard !


L'année dernière, nous avions accueilli des Lassius Endemique

Les fourmis ont bien proliféré. Nous comptons plus de 2.000 fourmis. 
Il a donc fallu agrandir la fourmilière. Oui, mais comment ?


Messor barbarus


Le choix s’est porté sur le modèle sandwich en sable argileux (module 6), car nous voulions voir les fourmis évoluer, construire des galeries et déplacer les grains de sable. 

Le problème c'est que les fourmis vivent avec 85% d'humidité et qu'à partir de 60% d'humidité, les acariens peuvent se développer et même anéantir une colonie... Ce n'est donc pas conseillé, d’après Patrice ...


Les fourmilières


Alors nous avons acquis une fourmilière appelée "quadricity" (module 2), qui permet d'observer les fourmis, tout comme notre fourmilière d'origine (module 4), mais qui a la particularité de pouvoir contenir jusqu'à 4 colonies, car elle se divise en 4 "chambres" avec un carrefour central. Cela permet de comparer les différences, par exemple entre les impressionnantes Messor barbarus moissonneuses et les petites Lasius endemique, éleveuses de pucerons. 


Messor barbarus et leur reine


D’où l'acquisition, le mois dernier de Messor barbarus, (module 1), qui appartiennent à la famille des Myrmicanae et qui se trouve dans notre région du sud de la France.
Fourmis granivores. La reine est capable de fonder seule sa colonie ! La taille de la reine est impressionnante : entre 14 mm et 16 mm.

L’évolution de la colonie dépendra de la taille de leur nid. Si on les laisse dans un petit nid elles s’adapteront et la reine pondra en conséquence. Plus le nid est gros, plus la colonie sera populeuse année après année. 

Tout ceci est idéal pour l'école !

lundi 19 mars 2018

Veillée du jeudi soir et journée du retour

La veillée du jeudi soir ...

Le jeudi soir, nous nous sommes réunis en salle de musique, et Daniel, l'animateur musique, nous a fait jouer à un quiz musical.
Et quand les autres classes sont arrivées, il nous a raconté l'histoire des trois sorcières en théâtre d'ombres. Lorsqu'il a fini le conte, notre classe s'est réunie dans le salon du gîte de l'ours.
Myriam nous a raconté l'histoire de "La montagne des sens".
Ensuite, pour cette dernière soirée, nous avons mangé de la brioche d' Auzet et de la pomme.




Vendredi 16 mars, jour du départ ...

On a mangé des céréales au petit-déjeuner puis on est allé faire de la musique en jouant les instruments que nous avons appris à utiliser pendant la semaine : la baignoire, le djembé, la batterie, le xylophone, les assiettes en céramique, le lithophone, le chime ...




Sur le chemin du retour, nous avons vu la dalle aux ammonites (ce sont des fossiles).



La classe verte, c'était vraiment super chouette !










vendredi 16 mars 2018

Veillée du mercredi soir et journée du jeudi 15 mars 2018 ...

Pour la veillée du mercredi soir, nous avons imaginé de partir en Nouvelle-Zélande avec Bastien le pirate pour aller surfer sur le Rio Tugu.
Nous avons utilisé une couverture pour faire semblant d'aller sur un bateau.
Arrivés en Nouvelle-Zélande, nous avons fait des jeux de coopération pour faire semblant que nous surfions.
Pour finir, nous nous sommes relaxés sur la plage et Bastien le pirate a joué du didgeridoo, un long instrument à vent.




Aujourd'hui, jeudi 15 mars, nous avons fabriqué des kazoos avec Charlotte.
Nous avons utilisé des morceaux de branches de sureau noir.


Ensuite, un groupe a participé à un atelier de musique.
L'autre groupe est resté avec Charlotte : nous avons appris à nous repérer sur une carte puis nous avons cherché sur la carte d'Auzet le chemin que nous avons pris hier pour aller à l'ancienne tour du guet Bramafan.
Puis nous avons changé les groupes. Un est parti en musique et l'autre groupe a fait une chasse au trésor en utilisant les boussoles.